Mon matériel


J'ai commencé la photographie avec un Olympus OM1 et son 50 f1.8, suivi par un 28 f2.8, un 135 f3.5 et un zoom 35-70 f3.6.
Plus tard, un deuxième OM1n noir et un Tamron 17 f3.5 et un 500 catadioptrique f8 de la même marque ont complété mon équipement.

J'ai toujours ce matériel, à part le zoom 35-70. Il fonctionne parfaitement depuis 35 ans.

Des diapos scannées provenant de tout cet équipement, illustrent mon site à la galerie concernant les Chantiers de La Ciotat.




Les formats 4,5x6 et 6x6 m'attiraient et j'ai eu un Mamiya 645 1000s avec son 80 f2,8, un 75 à obturateur central et un 150 f3,5, pour le portrait, magnifique.
Un autre Mamiya C220 suivit avec un 80 f2,8, un 65 f3,5 et un 180 f4,5. Mais une période financièrement difficile m'obligea à vendre tout ce matériel moyen format. J'en garde un très bon souvenir.







Je reçus en cadeau un Canon EOS10 avec un zoom 28-80 f2,8-4 innovant le système USM de la marque.
Cet objectif était une pure merveille de piqué mais très lourd.
Malheureusement l'obturateur de ce boitier tomba en panne (après dix ans de bons et loyaux services) lors d'un voyage au Chili et me priva des prises de vues que je comptais ramener.





Je reçus aussi un Minolta Dinax 8000i avec un 200 f2,8 Apo d'un excellent piqué aussi. Ce boitier connut des pannes et ne fonctionne plus correctement maintenant.
J'ai revendu les optiques pour me permettre de franchir le passage vers le numérique car l'offre en reflex de haut niveau était trop onéreuse pour continuer à les utiliser.
De plus, les performances de ces nouveaux boitiers numériques me laissaient dubitatif.




J'ai choisi un Canon G5 pour mes premières photos en numérique. A sa sortie, il représentait ce qui se faisait de mieux en APN compact.
(les reflex étaient vraiment trop chers)
Un bon capteur, pour l'époque, de 5 millions de pixels. Une ergonomie parfaite et une solidité vérifiée.
Toute ma première série de photographies de La Ciotat est quasiment prise avec cet appareil.


Malheureusement, l'écran arrière est tombé en panne. Il reste utilisable car il possède un écran supérieur pour les réglages basiques.
Mais pour la gestion de la carte mémoire, le passage par l'ordinateur est obligatoire.



Je me suis offert ensuite un Canon 350D avec le zoom standard 18-55. Ce boitier sans prétention mais assez performant, me permettait de renouer avec la visée reflex.
De plus, par l'intermédiaire d'une bague d'adaptation, je pus réutiliser mes optiques Olympus.
Le 50 devenant un 80 (f1.8), le 135 devenant un 216 et le 500 un 800. Royal ! Presque toutes les photographies de mon site en sont issues.
Étant aussi passionné d'astronomie, le Canon 350D était incontournable pour la photo astro et je l'installais sans problème sur mon télescope Celestron C8.
Je l'ai revendu pour m'offrir le boitier de mes rêves depuis que celui-ci est sorti en 2008. j'en parle plus loin.





Maintenant j'ai un Nikon D700. Un superbe boitier à tout point de vue.
Solide, complet, maniable. Il possède un capteur sensationnel. Aucun bruit même à 6400 iso. A sa sortie,c'était un boitier ultime.
Mais ceci avait un prix, que j'ai vite oublié pour ne prendre que du plaisir.
Unn 50 f1,8D, un 28 f2,8D et un zoom 70-210 f4-5,6 complétaient ce boîtier.

J'ai pu réutiliser à nouveau, grâce à des bagues d'adaptations, mes 17 mm et 500 mm Tamron. 
Étonnantes ces vieilles optiques qui continuent à procurer de bonnes images avec la technologie du numérique.










Celui-ci, je ne l'ai pas acheté. Je l'ai construit.
C'est un appareil sténopé à film 120 panoramique.
Pourquoi un sténopé ? Pour aborder la photographie autrement. Créer des images uniques sans contraintes techniques.
Des photographies impossibles à obtenir avec les appareils photographiques avec objectif.
Mais si le sténopé ne peut rivaliser en terme de définition ou de résolution, le charme des photographies est unique.
Les deux techniques ne sont pas opposables, mais se complètent.






A première vue, ces appareils sont là par erreur.
Mais si leur première fonction est de téléphoner, ils peuvent aussi prendre des photographies.
Ces modèles ne sont pas les meilleurs dans ce domaine.
Mais leurs achats n'étaient pas motivés pour cette pratique.
Ce n'est que récemment que sortis de l'oubli du fond de ma poche, je les emploie pour tester leurs possibilités photographiques.
Bien traitées pour pallier à la faible qualité des capteurs, les images sont agréables.
Et c'est ludique.

Samsung SGH-D900Di, 3Mp      Samsung Wave575, 3,2Mp   
     Samsung Grand Prime, 8Mp     
Samsung Galaxy A40, 16Mp   


  





J'ai possèdé un télescope Celestron C8 pour l'astronomie.
C'était un instrument pratique, compact et de bonne qualité optique.

Ici, il est préparé pour le transit de Mercure devant le soleil, le 7 mai 2003.
Une web caméra Philips capte les images, enregistrées ensuite sur un vieil ordinateur sous Windows 98
car le constructeur n'a pas réactualisé le pilote pour les derniers systèmes d'exploitations.
J'utilise aussi mes boitiers en parallèle ou au foyer.






J’ai remplacé le Celestron C8 par une lunette Apo de marque TS avec un piqué extraordinaire. Elle a une focale de 560mm pour un diamètre de 80mm.
J’ai ajouté un réducteur- correcteur 0,79 ramenant sa focale à 442mm et son ouverture de Fd 7 à Fd 5,53 avec l’avantage d’un champs photographié plus large et une plus grande rapidité d’acquisition.
Un Canon 600d défiltré pour une sensibilité dans le rouge accrue et une caméra Cmos monochrome ZWO pour l’autoguidage et la photographie planétaire constituent mes nouveaux outils photographiques.
Ma fidèle monture Vixen GP modernisée par de nouveaux moteurs GoTo et un système informatique plus récent complète mon équipement.








                                                                                                                                           


Voilà, maintenant il ne me reste plus qu'à engranger des images pour continuer à faire partager ma passion pour la photographie.



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